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Situation du Kenya 2009 Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Écrit par Administrator   
10-12-2009
Index de l'article
Situation du Kenya 2009
2 ème Trimestre
3 ème Trimestre
4 ème Trimestre
2 ème Trimestre

 

 

07 avril 2009

 

Démission d'un deuxième ministre

du gouvernement en 2 jours au Kenya

 

Le ministre délégué aux Services médicaux du Kenya, Danson Mungatana, a démissionné, mardi, par solidarité avec la ministre de la Justice et des Affaires constitutionnelles, Mme Martha Karua, qui a quitté le gouvernement lundi, en invoquant des frustrations dont elle aurait été victime de la part du président Mwai Kibaki. 

Ces démissions ne sont pas des surprises pour la plupart des Kenyans, après que le président a contourné pour procéder à la nomination de cinq juges sur recommandation du président de la Cour suprême, Evan Gicheru, qui est un subordonné de la ministre.

Dans sa conférence de presse organisée pour annoncer sa démission, M. Mungatana a mis en cause le président dans l'échec de la réinstallation de 350.000 personnes déplacées internes et la lenteur du processus de réforme constitutionnelle et juridique. Il a expliqué que le président, qui était en Zambie pour une visite d'Etat, était le principal obstacle à la réalisation de ce calendrier depuis la formation du gouvernement de coalition au lendemain de l'élection présidentielle controversée de 2007.

Mme Karua et M. Mungatana sont respectivement président et vice-président de Narc-Kenya, un allié du Parti de l'unité nationale (PNU) -une coalition de 14 petits partis qui ont rallié le président Kibaki lors des dernières élections sans réussir à réunir un nombre suffisant d'électeurs pour lui garantir une victoire incontestée.

Toutefois, les deux ministres démissionnaires ont joué un rôle-clé dans le maintien de M. Kibaki à la présidence et ont été, pour une large part, incriminés dans les mauvaises pratiques électorales massives ayant conduit aux violences post-électorales qui ont fait 1 200 morts. Leur départ expose dangereusement le président, une situation qui pourrait contraindre le pays à organiser des élections anticipées avant 2012, date du prochain scrutin électoral.

D'autres ministres et ministres délégués alliés au parti de Mme Karua seraient tentés de les imiter.

Mme Karua a déjà fait part de son intention de briguer la présidence lors des prochaines élections, mais se heurte à l'opposition farouche d'une clique qu'on accuse de prendre le président en otage pour leurs caprices.

Ces démissions ne pouvaient pas tomber à un pire moment pour le président, qui est de plus en plus sous le feux des critiques pour un leadership inefficace, ses politiques de promotion de l'ethnicité et de l'impunité et la corruption au sein de son gouvernement.

Lundi, le Premier ministre Raila Odinga - avec qui M. Kibaki partage le pouvoir exécutif - a été cinglant vis-à-vis du président, qualifiant son style de leadership de " primitif " et " jua kali ", terre à terre en kiswahili. Cette déclaration a été faite au lendemain de l'ultimatum posé par le Premier ministre pour que les réformes constitutionnelles et juridiques soient finalisées dans un délai d'un an, autrement son parti, le Mouvement démocratique Orange (ODLM), reverrait sa participation au gouvernement de grande coalition.

" Les réformes du système judiciaire, de la Fonction publique et de la Constitution ne peuvent être abordées si le président continue de se comporter en filou. Il doit savoir que la réserve de patience du peuple du Kenya s'épuise ", a averti le Premier ministre

 

 

11 juin 2009

 

Nairobi des habitants des bidonvilles

manifestent pour réclamer leurs droits

 

Plusieurs centaines d'habitants de bidonvilles de Nairobi ont manifesté jeudi dans le centre de la capitale kényane pour réclamer du gouvernement des améliorations de leurs conditions de vie, a constaté un journaliste de l'AFP.

Les manifestants, emmenés par des organisations de défense des droits humains internationale et nationales, ont notamment accusé le gouvernement de les ignorer.«Le gouvernement nous a complètement oubliés. C'est comme si les habitants des bidonvilles vivaient sur une autre planète tellement nos conditions de vie n'ont rien à voir» avec les leurs, a estimé le responsable d'une des ONG kényane, Benjamin Kaunda Gisemba.

Ces gens veulent de l'eau potable, ils veulent des toilettes, ils veulent des emplois (...). Ils disent :  « Nous sommes aussi citoyens de cette ville, nous avons les mêmes droits, nous réclamons nos droits », a pour sa part déclaré la secrétaire générale d'Amnesty International, Irene Khan.

 

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Près de 4 millions d'habitants vivent dans des bidonvilles avec moins d'un dollar par jour, c'est à dire pour donner un équivalent, la totalité de 40 stades de France !

 

« Nous avons le droit de revendiquer pour notre sécurité et un meilleur logement, car nous payons des impôts comme n'importe quel Kényan », a estimé Mercy Atieno, une manifestante originaire du bidonville de Kibera, le plus grand de la ville.

Près de la moitié des quelques quatre millions d'habitants à Nairobi vivent dans des bidonvilles où non seulement ils n'ont pas accès à des services de base mais vivent de surcroît dans «la crainte constante des expulsions», selon Mme Khan.

Le Kenya est le pays le plus riche d'Afrique de l'Est, mais plus de la moitié de la population vit avec moins d'un dollar par jour.

Selon le programme des Nations unies pour les établissements humains (ONU-Habitat), basé à Nairobi, près d'un tiers de la population d'Afrique sub-saharienne vit dans des bidonvilles ou sur des terres ne leur appartenant pas.

 

 

12 juin 2009

 

Kofi Annan accentue la pression

pour la création d'un tribunal spécial

 

NAIROBI (AFP) — L'ex-médiateur dans la crise kényane Kofi Annan a donné jeudi aux autorités kényanes jusqu'à la fin août pour créer un tribunal spécial destiné à juger les auteurs des violences de 2008, faute de quoi il saisirait la Cour pénale internationale (CPI).

Le 12 février, le gouvernement de coalition kényan avait échoué à rallier la majorité nécessaire au parlement pour faire voter un amendement constitutionnel portant création de ce tribunal, l'opposition à ce projet jugeant notamment qu'un tribunal local ne pourrait pas être à l'abri d'ingérence politique.

 

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Kofi Annan menace de transmettre des noms à la cour pénale internationnale 

 

"Je suis en discussion avec les deux leaders (le président et le Premier ministre) et ils m'ont dit qu'ils allaient faire une deuxième tentative (devant le Parlement) pour que le tribunal voit le jour ", a déclaré l'ex-secrétaire général de l'ONU dans un entretien avec la BBC.

"J'ai aussi très clairement indiqué que s'il n'était pas mis sur pied dans un délai raisonnable, d'ici fin août, je n'aurai d'autre choix que de transmettre l'enveloppe contenant les noms (de suspects) à la CPI pour qu'elle prenne le relais ", a-t-il ajouté.

Une commission d'enquête, créée en mai 2008 par le gouvernement de coalition kényan, avait recommandé la création d'un tribunal spécial dans un rapport remis le 15 octobre aux dirigeants kényans.

La commission prévoyait que si le Kenya échouait à mettre sur pied un tribunal spécial, une liste de plusieurs personnalités soupçonnées d'avoir activement organisé ces violences les plus meurtrières depuis l'indépendance du pays en 1963, serait remise à la Cour pénale internationale (CPI).

L'annonce de la réélection du président Mwai Kibaki pour un second mandat avait été vivement contestée par son adversaire Raila Odinga et suivie de violences politico-ethniques qui avaient fait environ 1.500 morts et plus de 300.000 déplacés.

M. Annan avait assuré une médiation au nom de l'Union africaine (UA) qui avait conduit le 28 février 2008 à la signature d'un accord de réconciliation nationale et à la formation d'un gouvernement de grande coalition dans lequel M. Odinga occupe le poste de Premier ministre

 

 

12 juin 2009

 

Deux millions de personnes

vivent dans des bidonvilles à Nairobi

 

Plus de la moitié de la population de Nairobi vit dans des bidonvilles ou dans campements de fortune, menacée d'expulsion et privée de services de base comme l'accès à l'eau courante ou l'éducation, a annoncé vendredi Amnesty International.

 

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 Dans un rapport publié vendredi 12 juin, Amnesty Internationnal s'insurge contre les conditions de vie des deux millions d'habitants des bidonvilles de Nairobi.

 

" C'est un scandale au niveau des droits de l'homme et un affront à leur dignité humaine ", a affirmé Irene Khan, secrétaire générale de l'organisation des droits de l'homme, qui s'est rendue dans la capitale du Kenya cette semaine pour présenter un rapport de 44 pages, intitulé " La majorité invisible : les deux millions d'habitants des bidonvilles de Nairobi ".

 

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 L'organisation de défense des droits de l'homme souligne que la population des bidonvilles, qui représente près de la moitié de la capitale kényane, est privée de tous ses droits fondamentaux

 

Le gouvernement kenyan n'est pas parvenu à mettre en place une politique susceptible de fournir aux habitants des alternatives viables à long terme, comme des logements à loyer modéré, souligne le rapport. Kibera, qui se trouve à Nairobi, est considéré comme le plus grand bidonville d'Afrique.

 

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Kibera est un bidonville de Nairobi exploité par les propriétaires terriens, menacé régulièrement par la police et toujours racketté par les gangs qui font la loi sans aucune impunité. La situation des populations des bidonvilles n'a pas évolué depuis la dernière election ! 

 

" Il y a deux millions de personnes exploitées par des logeurs, menacées par la police, extorquées par des gangs. Il y a un trou noir au niveau des droits de l'homme, avec des habitants privés de leurs droits fondamentaux et qui n'ont pas voix au chapitre en ce qui concerne leur avenir ", a souligné Irene Khan lors d'une conférence de presse à Nairobi.

 

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L'ONG insiste sur l'intention prêtée au gouvernement d'expulser 127.000 habitants sans aucun programme de relogement dans le cadre d'un plan de développement du bassin du fleuve Nairobi dont les eaux polluées traversent la ville.

 

Everline Sande, qui vit à Deep Sea, un bidonville de Nairobi, confie qu'elle craint de perdre son logement.

" Mes demandes sont simples : une bonne maison, de bons services médicaux, de l'eau potable et un métier lucratif ", a remarqué Everline Sande, qui gagne trois dollars par jour en gardant les enfants de mères célibataires dans le bidonville.

 

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La véritable question au quotidien pour ces oubliés de la société Kenyane,  c'est de savoir comment se procurer de la nourriture pour survivre et faire vivre leur famille. La préoccupation des expulsions, des attaques des gangs et des viols viennent ensuite !

 

Amnesty, qui présente dans son rapport les témoignages de plusieurs centaines d'habitants des bidonvilles, note qu'ils craignent constamment de perdre leur logement, malgré une décision de justice d'une Haute cour qui, en 2007, a interdit les expulsions forcées. AP

 

 

12 juin 2009

 

L'Afrique de l'Est reliée à un cable sous-marin

pour Internet haut débit

 

MOMBASA (Kenya), 12 juin 2009 (AFP) - Un câble de fibre optique sous-marin reliant les Emirats arabes unis (EAU) au Kenya a été inauguré vendredi à Mombasa (sud-est kényan), synonyme de l'arrivée prochaine de l'internet haut débit en Afrique de l'Est, a constaté l'AFP.

Le TEAMS (The East Africa Marine Systems), qui relie sur 4.500 km Fujairah (Emirats arabes unis) à Mombasa, doit à présent être connecté au réseau et devrait être mis en service courant juillet. La région dépend pour le moment de connexions internet par satellite caractérisées par leur faible fiabilité, leur lenteur et leur coût exorbitant.

" Avec le lancement de ce projet, le Kenya est à présent équipé de l'un des outils de développement les plus avancés et les plus économiques ", s'est félicité le président Mwai Kibaki à Mombasa. Jusqu'à présent, la côte est-africaine était la plus longue du monde sans raccordement à un câble haut débit, a ajouté le président.

Outre le Kenya, le câble pourrait bénéficier à la République démocratique du Congo (RDC), à la Tanzanie, à l'Ouganda, au Soudan, au Rwanda, au Burundi et à l'Ethiopie, selon des responsables kényans. D'un coût initial de 82 millions de dollars, le projet est financé à 40% par le gouvernement kényan, à 15% par la société Etisalat basée à Abou Dhabi et à 45% par les Etats voisins du Kenya ainsi que le secteur privé kényan. L'entreprise franco-américaine Alcatel-Lucent avait remporté l'appel d'offre pour la pose du câble sous-marin.

 

 

12 juin 2009

 

Le Kenya inquiet devant l'afflux

des pirates présumés somaliens

 

La marine américaine a remis plus de 17 somaliens suspectés de piraterie au Kenya, mercredi, portant le nombre de ces prisonniers dans les prisons kenyanes à 111.

La police kenyane a déclaré que l'afflux des pirates somaliens engorgeait les prisons du pays et les tribunaux locaux. Elle souhaiterait que les forces marines étrangères présentes dans la zone commencent à envoyer ces prisonniers vers d'autres pays.

« Nous cherchons des moyens pour que dans un avenir proche, les pirates soient inculpés aux Seychelles, à Djibouti ou en Égypte », a déclaré Sebson Wandera, le chef provincial des opérations du CID, dans la ville portuaire de Mombasa. Il a dit que les derniers arrivants seront pris en charge par un tribunal de Malindi, au nord de Mombasa en remontant sur la côte, vers la Somalie. Si l'afflux de pirates suspectés continue, ils devront être pris en charge par la capitale, Nairobi.

Les marines internationales tentent de freiner la piraterie au large de la Somalie. Elles sont réticentes à remettre les suspects dans leur propre pays, soit parce qu'ils n'ont pas la compétence, ou par peur que les pirates y trouvent asile. L'Union européenne, les États-Unis et certains autres pays ont signé des accords avec le Kenya pour que les procès se déroulent en Afrique de l'Est. Certains pirates sont poursuivis en France et aux Pays-Bas.

Au Kenya, 10 pirates purgent une peine de sept ans d'emprisonnement dans une prison de Voi, près de Mombasa. Le Kenya a précisé qu'il ne peut pas prendre en charge tous les pirates et les leaders musulmans sont inquiets du nombre croissant de ces prisonniers somaliens qui pourraient alimenter les tensions entre les nations voisines.

« Le Kenya n'est pas un dépotoir. Les États-Unis, la France ou la marine allemande doivent prendre en charge les personnes qu'ils arrêtent », a déclaré Sheikh Mohammed Khalifa, secrétaire du Conseil des imams et prêcheurs du Kenya (CIPK).

 

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23 avril 2009 Livraison aux autorités kenyanes des pirates somaliens

 

« C'est presque comme s'ils voulaient ouvrir un Guantanamo africain au Kenya. Il s'agit d'une tendance très dangereuse », a-t-il ajouté. Le groupe d'insurgés islamistes durs, al Shabaab, qui contrôle le sud de la Somalie le long de la frontière du Kenya, a des liens avec Al-Qaïda et des menaces pèsent sur la capitale Nairobi.

Le ministre des affaires étrangères du Kenya, Moses Wetangula, a rassuré les diplomates sur leur sécurité envers les attaques terroristes, disant que la police diplomatique avait été mise en "alerte".

« Nous vivons dans une région instable et la détérioration de la situation en Somalie a aggravé la situation en matière de sécurité », a ajouté le ministère des Affaires étrangères. Il a appelé la communauté internationale à s'attaquer à la question de la Somalie où les réseaux ont maintenant des ramifications mondiales , a indiqué le ministère dans une déclaration.

La semaine dernière une alerte à la bombe a été déclenchée à l'ambassade de Norvège, et Delta Air Lines annulait son vol inaugural à Nairobi après que le gouvernement américain ait déclaré qu'il y avait une "menace crédible" contre l'aviation civile en Afrique de l'Est.

Un camion piégé a tué plus de 200 personnes à l'ambassade américaine à Nairobi en août 1998. Les kamikazes ont frappé de nouveau en 2002, tuant 15 personnes dans un hôtel appartenant à Israël sur la côte kenyane. À peu près au même moment, des assaillants ont tenté d'abattre un avion israélien dans la région de Mombasa à l'aide de deux missiles qui ont manqué leur cible.

 

 

15 juin 2009

 

Kenya : Prêt de 16 milliards de SH de la part du FMI

 

La situation économique du Kenya n'est plus ce qu'elle était. Les conséquences des événements de 2008 ont toujours un impact important sur l'économie du Kenya. Le FMI a approuvé un prêt de 16 milliards de SH pour renflouer les stocks de devises de la banque centrale du Kenya.

Uhuru Kenyatta, ministre des Finances, a déclaré que le fonds permettra de renforcer la position de change, qui s'est aggravée du fait de la hausse de la demande pour les importations.

Le Kenya a eu pendant plusieurs années des réserves en devises couvrant plus de quatre mois d'importations, mais la situation a changé au cours des six derniers mois en raison de la diminution des transferts de la diaspora, de la baisse des recettes touristiques et du repli des exportations.

 

 

15 juin 2009

 

Le pétrolier TOTAL Kenya affiche

une perte de 2 millions de $ de perte avant impôt

 

Total Kenya a affiché une perte avant impôt de 163 millions Sh (environ 2 millions de $) du premier trimestre 2009, contre un bénéfice de 215 millions Sh pour la même période un an plus tôt

En raison principalement de la chute des prix du pétrole, le chiffre d'affaires est tombé à 8,926 milliards Sh, contre 11,214 milliards un an plus tôt.

«La situation a été aggravée par une énorme baisse des prix à la pompe sur le marché local, suite à des pressions de la part du gouvernement et du public sur la commercialisation des carburants», affirme la filiale de la compagnie française Total.

 

 

30 juin 2009

 

Premier cas de H1N1 au Kenya

 

L'Afrique jusqu'ici était à peu près épargnée par la grippe A.. mais voici un nouveau cas, le premier au Kenya. Il s'agit d'un étudiant britannique âgé de 20 ans. Il fait partie d'un groupe en voyage d'études au Kenya depuis 9 jours. Son cas a été diagnostiqué dans la ville de Kisumu dans l'ouest du pays.

D'après ce que l'on sait, il aurait été contaminé avant d'arriver au Kenya. Les autres étudiants, au nombre de 33, ont été mis en quarantaine dans leur hôtel. La ministre de la santé dit avoir pris les mesures de sécurité qui s'imposaient et appelle donc au calme. D'après les derniers chiffres du ministères de la santé, on dénombre maintenant, dans le monde, 55 867 cas et 238 morts confirmés.

 

 



Dernière mise à jour : ( 30-01-2010 )
 
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